Des besoins nouveaux, toujours plus pressants...
Ouvrir une école catholique aujourd'hui, c'est :
« Ma maison de campagne
Elle est sans vanité - mais n’est pas familière.
Ce n’est ni le château, ni la maison bourgeoise.
Ce n’est pas le manoir recouvert de lierre...
C’est quelque chose de français, en Seine-et-Oise... »
Sacha Guitry, Vers de Bohême, 1947
Ouvrir une école catholique aujourd'hui, c'est :
Entretenir des bâtiments et les agrandir dans la beauté, parce que la beauté est le cadre nécessaire à la formation d’une personnalité achevée.
Mettre sans cesse aux normes des bâtiments souvent vétustes, parce que le nombre de nos élèves ne cesse de grandir.
Pourvoir à la formation de nos jeunes sœurs pour assurer l’avenir de nos maisons et de notre enseignement catholique, appuyé sur les racines latines et grecques.
Permettre aux sœurs de conserver une vraie vie d’étude et de prière au milieu des multiples activités.
Ouvrir les enfants aux valeurs d’art et de civilisation.
Pour bâtir des maisons d'enseignement et d’éducation,
Pour planter le Vrai et le Beau dans l'âme des enfants,
voulez-vous nous aider en ce carême 2020 ?
« Vouloir former des jeunes filles qui soient des ferments évangéliques dans leur milieu, des esprits vivants adaptés spontanément aux valeurs désintéressées de beauté, de bonté et de moralité... »
Toutes nos écoles du Saint-Nom de Jésus de Fanjeaux ont besoin de vous !
« A peste, fame et bello, libera nos, Domine. »
« De la peste, de la famine et de la guerre, délivrez-nous, Seigneur »,
chantons-nous tous les jours pour que Dieu nous garde tous.